Tes adieux seront le début d'une symphonie,
Tu retrouveras une vie emplie d'harmonie.
De la portée des ans, tu égrèneras les notes,
Te jouant des soupirs que les soucis apportent.
Laisse courir tes doigts sur ta harpe divine,
Et éclater la joie qu'en ton cœur je devine,
Chante bien haut les mots que te dicte l'amour
N'aie plus peur du présent, ni même du temps qui court.
Isabelle - Ottignies - 1993