Petite fille aux yeux rieurs,
Au sourire parfois moqueur,
Caches-tu au fond de ton cœur
Le souvenir de mon malheur?
Pourras-tu un jour oublier
Le mal que j'ai dû te causer?
J'aimerais passer sur ta douleur
Un baume parfumé de bonheur.
La vie sera belle pour toi,
Un chemin parsemé de fleurs,
Vers l'allégresse te conduira.
Et tu n'auras plus jamais peur,
Car quand le soleil brillera,
Il effacera tous tes pleurs.
Ecrit pour Nancy en 1992